Les fondements théoriques de nos interventions

L’équipe est pluridisciplinaire dans ses formations de base, chaque intervenant étant invité à réaliser avec d’autres collaborateurs, des réponses globales  et adaptées aux besoins spécifiques de chaque entreprise. Les interventions d’ABSILIA, parce qu’elles concernent tant les humains en situation professionnelle que les organisations, reposent sur une polyréférence théorique.  Cette posture traduit tant notre volonté d’aborder nos missions dans une perspective globale que de favoriser les interactions des savoirs et savoir-faire de nos experts, qui sont entraînés à élaborer en commun les réponses dont les entreprises ont besoin.

Pour tenir compte de l’influence de la psychologie individuelle et collective sur les attitudes et les comportements des acteurs.

 

Pour intégrer la vision des systèmes dans lesquelles la situation étudiée est incluse.

Pour tenir compte des interactions entre l’être humain au travail est des environnements.

Pour rendre compte de la manière dont une organisation de travail développe, articule et intègre les compétences des acteurs en fonction de ses buts et de l’employabilité des salariés.

Pour rendre compte de la manière dont les acteurs développent capacités et méthodes pour faire face à leurs difficultés, quelle qu’en soit la nature.

Pour tenir compte de la vie psychique de l’acteur au travail.

Pour tenir compte du cadre théorique de la conservation des ressources d’HOBFOLL.

Pour rendre compte des liens existant entre les phénomènes et processus, que ceux-ci soient mesurables ou non.

Pour rendre compte du niveau d’intelligence collective mise en œuvre au sein de l’activité professionnelle d’un collectif de travail.

Pour rendre compte de la manière dont les acteurs perçoivent comme juste ou injuste ce qu’ils vivent en situation professionnelle.

Pour tenir compte des capacités de régulation émotionnelle des acteurs dans leur vie professionnelle.

Pour tenir compte des tensions et des antagonismes entre les polarités régressives et les polarités progressives de la dynamique psychosociale d’une organisation de travail.

Pour rendre compte de la manière dont les acteurs construisent et coordonnent les activités collectives organisées.

Pour rendre compte des perturbations affectant le fonctionnement d’une organisation, sur les plans opérationnels et psychosociaux.

Pour rendre compte de la manière dont les acteurs préviennent et gèrent leurs incompréhensions et leurs désaccords.